Je n'ai aucune justification à apporter
Daphné, oh là là ! C'est sidérant comment les gens réagissent sur quelque chose qu'ils ne sont pas en mesure de comprendre en l'occurrence, nous. Oui, quoique que l'on puissent dire où faire c'est toujours, oui, mais alors vous comprenez…Qu'est-ce que c'est que ces bêtises ? De vouloir nous faire croire que nous sommes dans le devoir de placer chacun de nous à une place plutôt qu'à une autre. Une fois encore, ils se décrivent tels qu'ils sont en cherchant à comprendre des explications sur nos agissements sur des questions qu'ils ne se posent qu'à eux même. Pure spéculation, vaine et idiote. C'est vraiment à se demander sur ce qu'il y a dans le cerveau de certains et certaines. Du cirage ? Ou de la poussière ? Je n'ai aucune justification à apporter sur ce que je dicte à mes décisions et surtout nous concernant, nous. Mais qu'est-ce que c'est que ces joueurs stupides et cupides qui nous offrent leurs avis d'abrutis. Où nous sommes, cela à valeur de simple foutaise, et de réflexion de premier degré. Ce mode d'appréhension des événements nous sont tellement étrangers qu'il y a, à s'interroger sur la répartition des facultés intellectuelles de chacun en matière de sentiment et de capacité à comprendre. Quelle misère de compréhension cynique dans ces procès d'intention publique pathétique.
Tu comprends, cela m'agace d'entendre des bêtises pareilles, des gamins auxquels ils faut constamment répéter les mêmes choses. Des blaireaux ! d'incommensurables blaireaux. Je te jure, que je me réserve énormément pour ne pas exprimer grossièrement le fond de ma pensée. Sans parler de justification, nous allons sans doute beaucoup rire sur les réflexions et les faits qui auront jalonné tout au long de cette histoire. Allons, imperceptiblement vers ce que notre cœur et notre intelligence a exprimé. Rétrospectivement, je suis surpris de l'extrême cohérence avec laquelle nous avons opérer l'un et l'autre, nous ferrons en sorte d'aller vers cette précision, c'est pour moi autant un besoin qu'un désir, un parcours vers l'excellence.
Je regardais l'émission de ce midi, c'est particulièrement édifiant, la dose de crétinerie qui émerge de certaine et certain, il faut sûrement un certain sacrifice pour ce présenter ainsi devant autant de spectateur ou de mari, je pense à cette fille et je me dis : " la chèvre de monsieur Seguin d'Epinal, bêle dans la prairie végétale " Voilà en une phrase ce qui résume ce qu'elle m'exprime. Lui c'est plutôt, : " du gros, du gras, comme un serveur, le scorbut aux dents pour son malheur " Voici ce que l'on peut en retenir.
|